Syndicats et beats : quand un rappeur remet le syndicat à la mode
Il y a trois ans, personne ne connaissait le nom de Chris Smalls. Il n'était "qu'un" travailleur qui emballait des boîtes chez Amazon. Mais lorsque ce travailleur "ordinaire" a défendu les droits de ses collègues qui devaient continuer à travailler pendant la pandémie de coronavirus, il a été licencié. Il s'est opposé à son patron, Jeff Bezos, l'homme le plus riche du monde, et a gagné. Aujourd'hui, il dirige le premier syndicat américain d'Amazon, l'Amazon Labor Union. Qui se cache derrière ces chaînes brillantes et ces chapeaux branchés ? Quel chemin ce rappeur et organisateur a-t-il parcouru ? Comment voit-il l'avenir ?